Chambre chaude à Tarbes – Shooting érotique dans un appartement haussmannien
Chambre chaude à Tarbes – Shooting érotique dans un appartement haussmannien
C’était une fin d’après-midi d’avril. Le soleil jouait à travers les persiennes en bois d’un bel appartement du centre de Tarbes. Hauts plafonds, moulures, parquet ancien… et dans cette lumière dorée, Julia. Elle m’avait confié vouloir quelque chose de "féminin, sensuel, mais un peu animal aussi". Pas une pin-up. Pas une muse. Une femme qui brûle.
Elle portait un kimono satiné couleur prune, qui laissait entrevoir une lingerie fine, presque invisible, presque absente. Elle s’est assise sur le lit, jambes croisées, puis les a lentement ouvertes, le tissu glissant le long de ses cuisses. Je photographiais sans un mot, attentif à chaque mouvement, chaque hésitation. À un moment, elle s’est penchée vers moi, la bouche entrouverte, une mèche tombant sur ses seins. Elle m’a dit : — Je veux qu’on devine. Pas qu’on sache. Tu comprends ?
Alors elle a joué avec les ombres. Elle a soulevé sa poitrine entre ses mains, l’a laissée tomber. A glissé une main entre ses jambes, à travers la dentelle, puis sous. Elle ne se caressait pas. Elle s’installait, elle habitait son corps. Dans ce décor classique, elle était une flamme nue, moderne, ardente.
La dernière photo est un clair-obscur : elle, allongée, dos cambré, le regard planté dans l’objectif, entre offrande et défi. C’est ça, Julia. Une brûlure lente.